Les systèmes d’information prennent une part toujours croissante dans les processus de gestion des acteurs publics. Ce mouvement ne date pas d’hier mais ne se dément pas. La modification incessante de l’environnement technique, les coûts afférents, les attentes croissantes des usagers (notamment en matière de service en ligne) et les besoins des agents modifient en permanence le paysage et obligent les acteurs publics à faire des choix.
Dans un tel contexte, l’élaboration d’un SDSI (schéma directeur des systèmes d’information) est une réponse pertinente et même souvent indispensable si on veut tenir compte de la contrainte financière qui oblige à des arbitrages bien documentés.
Le SDSI permet de donner une lisibilité à la politique informatique, de planifier les engagements financiers, d’éviter les projets dispendieux ou inadaptés… Il favorise aussi la transversalité nécessaire au bon fonctionnement de la fonction « systèmes d’information ».
La démarche de PIM, inspirée librement de la méthode ITIL, positionne clairement ce sujet au niveau de la direction générale, comme une démarche indispensable à l’alignement stratégique de la structure.